Le Docteur Patrick Soon-Shiong, célèbre chirurgien et milliardaire de la biotech, tire la sonnette d’alarme : une explosion mondiale de cancers agressifs serait en cours, potentiellement liée au covid 19 et à la vaccination de masse.
Dans une interview choc avec Tucker Carlson, le fondateur d’Immunity Bio et propriétaire du Los Angeles Times affirme que jamais, en 50 ans de pratique, il n’avait vu autant de cas de cancers graves chez les jeunes. Il cite notamment une fillette de 13 ans atteinte d’un cancer pancréatique métastasé – une situation jusque-là inimaginable – ainsi que des cas de cancer du côlon chez des enfants de moins de 11 ans et des cancers ovariens fulgurants chez des femmes trentenaires.
Selon lui, le point commun entre tous ces cas récents est l’exposition massive de la population au virus SARS-CoV-2 et à sa protéine spike, via l’infection ou la vaccination. Il évoque un dérèglement immunitaire profond, déclenché par l’inflammation chronique et l’épuisement immunitaire, qui pourrait empêcher l’organisme de contrôler les cellules cancéreuses comme il le faisait auparavant.
Le professeur Angus Dalgleish, oncologue au Royaume-Uni, a lui aussi observé des réactivations soudaines de cancers après des doses de rappel, évoquant des leucémies foudroyantes et des métastases inexpliquées.
Des études viennent appuyer ces inquiétudes. Une recherche publiée dans Frontiers in Oncology a montré que la protéine M du SARS-CoV-2 stimule la prolifération de cellules de cancer du sein triple négatif. D’autres observations notent la réactivation de virus latents comme Epstein-Barr, souvent liés à certains cancers.
Enfin, les données de Phinance Technologies révèlent une augmentation de 24,6 % des cas de handicap aux États-Unis entre 2021 et 2022, notamment chez les adultes jeunes et actifs – une tendance qui coïncide avec la campagne vaccinale.Si ces observations se confirment, le monde pourrait faire face à une « pandémie non-infectieuse » silencieuse, causée par un affaiblissement global de l’immunité post-covid.
D’un autre côté l’étude réalisée par le Global Vaccine Data Network (GVDN), portant sur 99 millions de personnes vaccinées, https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0264410X24001270, a mesuré :
610% d’augmentation du risque de myocardite après l’injection de la plate-forme d’ARNm.
378% d’augmentation de du risque d’encéphalomyélite aiguë disséminée (ADEM) après l’injection d’ARNm.
323% d’augmentation de du risque de thrombose du sinus veineux cérébral (CVST) suite à l’injection du vecteur viral.
249% d’augmentation du risque de syndrome de Guillain-Barré (SGB) suite à l’injection du vecteur viral.
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